22 déc. 2011

Collaborations intergroupes

Le groupe FIAT crée avec le groupe Michelin le projet PARDEVI  pour sauver Citroen en 1968.
- En 1970, le groupe Michelin sort le concept Citroen Y, du projet X1/4.
- En 1971, le groupe FIAT sort la Fiat 127 du projet x1/4,  voiture de l'année 1972.
- En 1972, le groupe FIAT sort la Seat 127 issue du projet X1/4.
- En 1974, le groupe FIAT sort le Fiat 242
- En 1974, le groupe Michelin sort le Citroën C25, basée sur la plateforme Fiat 242.
- En 1976, le groupe FIAT sort la Fiat 147 issue du projet X1/4, au Brésil et en Argentine.

Le groupe PSA, actif dans les bicyclettes et les moulins à poivre est contraint par le gouvernement français de reprendre plusieurs filiales françaises du groupe FIAT.
- En 1976, le groupe PSA reprend Citroen, la filiale automobile du groupe français Michelin, des mains du groupe FIAT.
- En 1978, le groupe PSA reprend SIMCA, la filiale française du groupe FIAT, des mains du groupe américain Chrysler.

Le groupe FIAT crée le groupe IVECO pour remplacer FIAT VI en 1975.
- En 1978, le groupe FIAT sort le projet IVECO Daily.
- En 1978, le groupe FIAT sort le Fiat Daily en Italie.
- En 1978, le groupe FIAT sort le OM Daily en Italie.
- En 1978, le groupe FIAT sort le Magirus Daily en Allemagne.
- En 1978, le groupe FIAT sort le UNIC Daily en France.

Le groupe FIAT crée avec le groupe PSA le projet SEVEL sud en 1978.
- En 1981, le groupe FIAT sort le Fiat Ducato, basée sur la plateforme SEVEL sud.
- En 1981, le groupe FIAT sort le Alfa AR6, basée sur la plateforme SEVEL sud.
- En 1981, le groupe PSA sort le Peugeot J5, basée sur la plateforme SEVEL sud.
- En 1981, le groupe PSA sort le Citroën Jumper, basée sur la plateforme SEVEL sud.

Le groupe FIAT crée le projet de plateforme type 0 en 1980.
- En 1980, le groupe FIAT sort la Fiat Panda I, basée sur la plateforme type 0 (projet 146).

Le groupe FIAT crée le projet 146 de plateforme type 1 en 1983.
- En 1984, le groupe FIAT sort la Fiat Uno, basée sur la plateforme type 1 (projet 146).
- En 1984, la filiale FIAT Automoveis sort la Fiat Uno CS, basée sur la plateforme type 1 (projet 146).
- En 1984, la filiale FIAT Concord sort la Fiat Uno CS, basée sur la plateforme type 1 (projet 146).
- En 1985, la filiale FIAT Automoveis sort la Fiat Premio, basée sur la plateforme type 1 (projet 146).
- En 1986, la filiale FIAT Automoveis sort la Fiat Elba, basée sur la plateforme type 1 (projet 146).
- En 1986, la filiale FIAT Automoveis sort la Fiat Elba, basée sur la plateforme type 1 (projet 146).
- En 1987, la filiale FIAT Concord sort la Fiat Duna, basée sur la plateforme type 1 (projet 146).
- En 1988, la filiale FIAT Automoveis sort la Fiat Fiorino II, basée sur la plateforme type 1 (projet 146).

Le groupe FIAT crée avec le groupe SAAB le projet 154 de plateforme type 4.
- En 1984, le groupe FIAT sort la Lancia Thema, basée sur la plateforme type 4 (projet 154).
- En 1985, le groupe FIAT sort la Fiat Croma, basée sur la plateforme type 4 (projet 154).
- En 1985, le groupe SAAB sort la Saab 9000, basée sur la plateforme type 4.
- En 1987, le groupe FIAT sort la Alfa Romeo 164, basée sur la plateforme type 4 (projet 154).

Le groupe FIAT crée le projet 160 de plateforme type 2 en 1988.
- En 1988, le groupe FIAT sort la Fiat Tipo, basée sur la plateforme type 2 (projet 160).
- En 1988, le groupe FIAT sort la Tofas Tipo, basée sur la plateforme type 2 (projet 160).
- En 1988, le groupe FIAT sort la Automoveis Tipo, basée sur la plateforme type 2 (projet 160).

Le groupe FIAT crée avec le groupe SAAB le projet de plateforme type 3 en 1990.
- En 1990, le groupe FIAT sort la Lancia Delta II, basée sur la plateforme type 3 (projet 159).
- En 1990, le groupe FIAT sort la Fiat Tempra, basée sur la plateforme type 3.
- En 1985, le groupe SAAB sort la Saab 600, basée sur la plateforme type 3.
- En 1992, le groupe FIAT sort la Alfa 155, basée sur la plateforme type 3.

Le groupe PSA crée avec le groupe FIAT le projet SEVEL nord en 1992.
- En 1994, le groupe FIAT sort la Fiat Ulysse I, basée sur la plateforme SEVEL nord (projet 220).
- En 1994, le groupe FIAT sort la Lancia Zeta, basée sur la plateforme SEVEL nord (projet 220).
- En 1994, le groupe PSA sort la Peugeot 806, basée sur la plateforme SEVEL nord.
- En 1994, le groupe PSA sort la Citroën Evasion, basée sur la plateforme SEVEL nord.
- En 1995, le groupe FIAT sort la Fiat Scudo, basée sur la plateforme SEVEL nord (projet 220).
- En 1995, le groupe PSA sort la Peugeot Expert, basée sur la plateforme SEVEL nord.
- En 1995, le groupe PSA sort la Citroën Jumpy, basée sur la plateforme SEVEL nord.

Le groupe FIAT crée avec le groupe RSA le projet Irisbus en 1999.
- En 1999, le groupe FIAT sort le Irisbus Daily, basé sur la plateforme SEVEL sud.
- En 1999, le groupe FIAT sort le Irisbus Ducato, basé sur la plateforme SEVEL sud.

Le groupe FIAT unit sa destinée au groupe GM en 2000.
- En 2001, le groupe FIAT sort la Fiat Stilo basée sur la plateforme C-frame.
- En 2002, le groupe GM sort la Opel Vectra basée sur la plateforme GM Epsilon.
- En 2003, le groupe GM sort la Saab 9-3 basée sur la plateforme GM Epsilon.
- En 2004, le groupe GM sort la Opel Astra basée sur la plateforme C-frame.
- En 2003, le groupe GM sort la Opel Signum basée sur la plateforme GM Epsilon.
- En 2005, le groupe FIAT sort la Fiat Croma II basée sur la plateforme GM Epsilon.
- En 2005, le groupe GM sort la Opel Zafira basée sur la plateforme C-frame.

Le groupe FIAT poursuit avec le groupe Ford le projet plateform 0 en 2003.
- En 2003, le groupe Fiat sort la Fiat Panda II, basée sur la plateforme Fiat 0.
- En 2007, le groupe Fiat sort la Fiat 500 II, basée sur la plateforme Fiat 0.
- En 2008, le groupe Ford sort la Ford Ka, basée sur la plateforme Fiat 0.

Le groupe FIAT doit mettre un terme à l'alliance américaine en 2005, mais poursuit les projets entammés.
- En 2005, le groupe FIAT sort la Fiat Grande Punto basée sur la plateforme FIAT SCCS
- En 2006, le groupe GM sort la Opel Corsa basée sur la plateforme FIAT SCCS
- En 2006, le groupe FIAT sort la Fiat Linea basée sur la plateforme FIAT SCCS
- En 2007, le groupe FIAT sort la Fiat Fiorino basée sur la plateforme FIAT SCCS
- En 2007, le groupe FIAT sort la Fiat Qubo basée sur la plateforme FIAT SCCS
- En 2007, le groupe PSA sort la Citroën Nemo basée sur la plateforme FIAT SCCS
- En 2007, le groupe PSA sort la Peugeot Bipper basée sur la plateforme FIAT SCCS
- En 2007, le groupe FIAT sort la Fiat Doblo II basée sur la plateforme FIAT SCCS
- En 2007, le groupe FIAT sort la Fiat Bravo basée sur la plateforme C-frame.
- En 2008, le groupe FIAT sort la Alfa Romeo MiTo basée sur la plateforme FIAT SCCS.
- En 2008, le groupe FIAT sort la Lancia Delta basée sur la plateforme C-frame.

Le groupe FIAT poursuit les projets SEVEL en 2007.
- En 2007, le groupe FIAT sort la Fiat Scudo, basée sur la plateforme SEVEL nord.
- En 2007, le groupe PSA sort la Peugeot Expert, basée sur la plateforme SEVEL nord.
- En 2007, le groupe PSA sort la Citroën Jumpy, basée sur la plateforme SEVEL nord.
- En 2008, le groupe FIAT sort la Fiat Ulysse II, basée sur la plateforme SEVEL nord.
- En 2008, le groupe FIAT sort la Lancia Phedra, basée sur la plateforme SEVEL nord.
- En 2008, le groupe PSA sort la Peugeot 807, basée sur la plateforme SEVEL nord.
- En 2008, le groupe PSA sort la Citroën C8, basée sur la plateforme SEVEL nord.

Le groupe FIAT acquiert le groupe Chrysler en 2008.
- En 2009, le groupe GM sort la Opel Astra basée sur la plateforme GM Delta.
- En 2010, le groupe FIAT sort la Alfa Giulietta basée sur la plateforme C-EVO.
- En 2010, le groupe GM sort la Opel Meriva basée sur la plateforme FIAT SCCS.
- En 2011, le groupe GM sort la Opel Combo basée sur la plateforme FIAT SCCS.
- En 2012, le groupe FIAT sort la RAM Doblo basée sur la plateforme FIAT SCCS.
- En 2012, le groupe FIAT sort la Dodge Dart basée sur la plateforme FIAT C-EVO.
- En 2012, le groupe FIAT sort la Fiat Viaggio basée sur la plateforme FIAT C-EVO.
- En 2012, le groupe FIAT sort le RAM Daily, basé sur la plateforme SEVEL sud.
- En 2013, le groupe FIAT sort le RAM Promaster, basé sur la plateforme SEVEL sud.

Le groupe FIAT poursuit ses collaborations avec d'anciennes unités de GM et de Ford en 2012.
- En 2006, le groupe FIAT collabore avec la firme Suzuki en Hongrie.
- En 2011, le groupe FIAT collabore avec la firme Suzuki-Maruti en Inde.
- En 2012, le groupe FIAT collabore avec la firme Mazda au Japon.

 Le groupe FIAT envisage de nouvelles collaborations avec Mazda et avec Volvo en 2012.

Source   :   Wikipedia   (page mise à jour le 12/07/2012)

15 déc. 2011

Mondialisation (bis)

Le journaliste d'outre jura qui critique souvent la qualité des modèles FIAT et la pauvreté des gammes présentées met aussi en exergue la gestion du groupe FIAT et émet même des doutes concernant la survie de ce groupe. Cependant, ces mêmes journalistes, financés par de grands groupes concurrents portent leur responsabilité dans cette situation par l'usage répété de termes négativement connotés en parlant des produits FIAT. Il est par conséquent évident pour un habitant de la France, monolingue et endoctriné, de se limiter à l'horizon français et de penser que l'offre des modèles FIAT est trop restreinte.

Premièrement, le groupe FIAT a bien tenté d'investir le marché français et s'est rendu compte des collusions qui existaient entre le pouvoir, l'économie, les médias et l'éducation. Le groupe FIAT a bien créé en France les filiales SAFAF, SIMCA, UNIC, SOMECA, SEVEL et IrisBUS, mais sans grand succès. La raison en est que le peuple français, limité par son monolinguisme, est influencé par les médias et pense à tord que que les produits italiens sont inférieurs aux produits allemands, à la notable exception de Ferrari. Le groupe FIAT a par ailleurs développé pour ces indécrottables adeptes du moteur Diesel, le moteur Common Rail. Le groupe FIAT a également introduit sur le marché français pour les indécrottables adeptes du fourgon de livraison, le Doblo.

Deuxièmement, à la différence des constructeurs français focalisés sur leur marché national, le groupe FIAT est un groupe mondialisé, car il possède des usines, des filiales et des succursales tout autour du globe. En effet, le groupe FIAT s'est diversifié très tôt et a fondé les succursales Automoveis au Brésil, Tofas en Turquie, FIAT POLAND en Pologne, FIAT TATA en Inde et Zastava en Serbie. A part la Russie et la Chine toutes ces filiales se portent bien et rapportent de l'argent. Le groupe FIAT est ainsi présent sur plusieurs marchés et minimise ses risques, du point de vue des changes, des aléas climatiques, des risques conjoncturels et des agitations politiques. Le journaliste d’outre jura réalise alors avec stupeur que le monde automobile est devenu mondial. Comme la monnaie européenne subit actuellement une désaffection et une perte de crédibilité, le groupe FIAT peut se replier sur ses usines serbes, turques, polonaises, brésiliennes et américaines.
Mais le groupe FIAT n'oublie pas ses racines italiennes et produit également la Panda III à Campiglio d'Arco, en concurrence avec la Panda II produite à Tychy en Pologne et en association avec la Ellezero produite à Kragujevac en Serbie.

Troisièmement, à la différence des constructeurs français concentrés sur la seule production automobile, le groupe FIAT s'est diversifié très tôt. Il possède des succursales d'approvisionnement tel TEKSID, Magneti-Marelli, COMAU ou FTP, qui doivent toutes être bénéficiaires. Bien qu'il se soit débarrassé de ses prestigieuses branches Ferroviaire et Aéronautique, le groupe FIAT reste actif dans les poids lourds, les bateaux, les engins de chantiers, les tracteurs, les autobus en plus des automobiles. De plus le groupe FIAT s'est scindé en deux pour répartir les risques en bourse et échapper aux foudres de Bruxelles.

Quatrièmement, au contraire des constructeurs français qui s'obstinent à produire et à vendre trois modèles identiques dans chaque segment du marché, le groupe FIAT ne commercialise que les modèles qui se vendent et qui dégagent une marge bénéficiaire. Pour l'instant, le groupe FIAT se développe aux Etats-Unis avec ses trois marques locales en faisant marcher la synergie avec les marques européennes. Les marges dégagées permettent non seulement de satisfaire les investisseurs, les actionnaires, mais aussi de verser des salaires aux employés. A la différence d'autres constructeurs, le groupe FIAT dispose d'un large éventail de marques, qui l'autorise à ne vendre que les modèles rentables de telle marque sur tel marché.

Grâce à la synergie, le groupe Fiat a pu étoffer la gamme Lancia, en 5 modèles capables de concurrencer Mecrcedes, BMW ou Audi :
- Lancia Ypsilon
- Lancia Delta, existe également en version Chrysler en Angleterre.
- Lancia Flavia, existe également en version Chrysler en Amérique.
- Lancia Thema, existe également en version Chrysler 300, Dodge Charger et Dodge Challenger en Amérique.
- Lancia Voyager, existe également en version Chrysler Town & Country, Dodge Caravan et Volkswagen Routan en Amérique.

Grâce à la synergie avec Opel, avec Ford, avec Suzuki et avec Dodge, le groupe Fiat a pu compléter les 9 modèles de la gamme Fiat :
- La FIAT 500 III, fabriquée en Pologne depuis 2007, existe également en version Ford Ka.
- La FIAT Panda II, fabriquée en Pologne depuis 2003.
- La FIAT Panda III, fabriquée en Italie depuis 2012.
- La FIAT 500L, fabriqué en Serbie depuis 2012.
- La FIAT Punto III, fabriquée en Italie depuis 2011.
- La FIAT Linea, fabriquée en Turquie, en Inde, au Brésil depuis 2007.
- Le FIAT Seicento, fabriquée en Hongrie depuis 2011, existe également en version Suzuki SX4.
- La FIAT Bravo II, fabriquée en Italie depuis 2007.
- Le FIAT Freemont, fabriqué en Amérique depuis 2011, existe également en version Dodge pour satisfaire la demande américaine.

Grâce à la synergie avec PSA, avec GM, le groupe Fiat a pu compléter les six modèles de la gamme Fiat Professional :
- Le FIAT Ducato (modèle 244), fabriqué en Italie depuis 2006, existe également en version Citroën Jumper II  / Peugeot Boxer II pour satisfaire la demande française, comme il existe en version RAM Promaster pour satisfaire la demande américaine.
- Le FIAT Scudo ( modèle 223), fabriqué en France depuis 2007, existe également en version Citroën Jumpy II et Peugeot Expert II pour satisfaire la demande française.
- Le Fiat Doblò II ( modèle 263 ), fabriqué en Turquie depuis 2010, existe également en version RAM Doblo pour satisfaire la demande américaine et Opel Combo pour satisfaire la demande allemande.
- Le FIAT Strada II (modèle 178 ), fabriqué au Brésil depuis 2012, existe également en version Jeep et RAM pour satisfaire la demande américaine.
- Le FIAT Fiorino III ( modèle 225 ), fabriqué en Turquie depuis 2007 et le FIAT Qubo de puis 2008, existent également en version Citroen Nemo ou Peugeot Bipper pour satisfaire la demande française.
- le FIAT Qubo ( modèle 225 ), fabriqué en Turquie depuis 2008.


Source   :   Wikipedia   (page mise à jour le 02/07/2012)

27 nov. 2011

Nébuleuse FIAT

Le groupe industriel FIAT ne se cantonne pas à la marque Fiat et ne se limite pas à l'Italie, ni à l'Europe, mais le groupe industriel Fiat, constitue une nébuleuse, qui lutte avec les plus grands au niveau mondial.

En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient l'unité de production FIAT Ceirano depuis 1899, qui devient FIAT en 1899.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient le groupe FIAT (Fabbrica Italiana Automobile Torino) depuis 1899.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la marque automobile FIAT depuis 1899.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient l'unité de production FIAT Ansaldi depuis 1906, qui devient FIAT en 1906.

En Autriche, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d’exportation FIAT Steyr (AustroFIAT) depuis 1907, qui passe à Magna en 1976.
En Amérique, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d’exportation FIAT FMC (Fiat Motor Corporation) depuis 1908, qui passe à Duesemberg en 1918.
En Argentine, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d’exportation FIAT Concord depuis 1910.

En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la division aéronautique FIAT SIA (Societa Italiana Aviazione) depuis 1916, qui devient FIAT Aviazione en 1918.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d’approvisionnement métallurgique FIAT TekSid depuis 1917.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient l'unité de production FIAT Diatto depuis 1917, qui devient FIAT Ferroviara en 1917.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la division ferroviaire FIAT Ferroviara depuis 1917, qui passe à Alsthom en 2000.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la division aéronautique FIAT Aviazione (Societa Italiana Aviazione) depuis 1918, qui devient Aeritalia et FIAT Avio en 1969.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d’équipement électrique FIAT FIMM (Magneti Marelli) depuis 1919.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la division des véhicules agricoles FIAT Trattori depuis 1919, qui devient FIAT AGRI en 1983.
En Europe, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la division FIAT Trattori, qui devient FIAT AGRI en 1966.
En Europe, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la division FIAT Trattori, qui devient la division FIAT MMT en 1966.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient l'unité de production FIAT SPA (Società Piemontese Automobili) depuis 1925, qui devient FIAT VI en 1975.
En France, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d’exportation FIAT SAFAF (Société Anonyme Française des Automobiles Fiat) depuis 1926, qui devient FIAT SIMCA en 1928.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la division des véhicules lourds FIAT VI (Veicoli Industriali) depuis 1929, qui devient IVECO en 1975.
En Allemagne, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d’exportation FIAT NSU depuis 1929, qui passe à AUDI en 1957.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient l'unité de production SCAT (Societa Ceirano Automobili Torino) depuis 1929, qui devient FIAT VI en 1929.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient le groupe OM (Officine Meccaniche) depuis 1933, qui devient FIAT VI, FIAT Trattori et FIAT Ferroviara.
En France, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d'exportation FIAT SIMCA (Société Industrielle de Mécanique et de Carrosserie) depuis 1934, qui passe à Chrysler en 1970.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient l'unité de production FIAT Itala depuis 1935, qui devient FIAT en 1935.

En France, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d'exportation FIAT UNIC depuis 1949, qui devient IVECO en 1975.
En Argentine, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d’exportation FIAT SACIF depuis 1949, qui devient FIAT SOMECA en 1954.
En Espagne, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d’exportation FIAT SEAT depuis 1950, qui passe à VAG en 1982.
Au Mexique, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d’exportation FIAT DINA depuis 1952, qui passe à RSA en 1960.
En Argentine, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d’exportation FIAT IAME depuis 1952, qui devient FIAT SOMECA en 1959.
En France , le groupe F.I.A.T S.p.A. détient l’unité de production FIAT MAP depuis 1953, qui devient FIAT SOMECA en 1953.
En France, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d'exportation FIAT SOMECA depuis 1953, qui devient FIAT Trattori en 1965.
En Yougoslavie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d'exportation FIAT Zastava depuis 1953.
En Argentine, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d’exportation FIAT SOMECA depuis 1954, .
En France, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d'exportation FIAT Ford SAF depuis 1954, qui passe à Chrysler en 1970.
En France, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d'exportation Saurer Frankreich depuis 1956, qui passe à Chrysler en 1970.
En Tunisie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d'exportation FIAT STIA (Société Tunisienne d'Importation Automobile) depuis 1961.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la marque Autobianchi depuis 1966, qui devient Lancia en 1992.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la marque Lancia depuis 1966, qui devient Lancia Chrysler en 2011.
En France, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d'exportation FIAT UNIC depuis 1966, qui devient IVECO en 1975.
En Europe, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la division FIAT Trattori, qui devient FIAT AGRI en 1966.
En Europe, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la division FIAT Trattori, qui devient la division FIAT MMT en 1966.
En Russie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d'exportation FIAT LADA depuis 1966, qui passe à GM en 2005.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la division engins de terrassement FIAT MMT (Macchine Movimento Terra) depuis 1966, qui devient FIAT Allis en 1974.
En Tunisie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d'exportation FIAT STIA depuis 1967.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale camions FIAT ALFA VI depuis 1967, le  depuis 1975 : IVECO.
En Yougoslavie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale FIAT Zastava depuis 1968.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la marque AutoBianchi en Italie, depuis 1968.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale FIAT Aviazione depuis 1969, qui devient FIAT AVIO en 1979.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale camions FIAT Lancia VI depuis 1969.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la firme Ferrari depuis 1969 à 50%.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient le groupe industriel Lancia depuis 1969.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient l'unité de production Lancia VI depuis 1969.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la marque automobile Lancia depuis 1969.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d'exportation FIAT Abarth depuis 1971.
En Turquie 1971, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d'exportation FIAT TOFAS depuis 1971.
En Argentine, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d'exportation FIAT IAVA depuis 1971, qui devient FIAT Concord en 1984.
Au Brésil, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d'exportation FIAT FNM au Brésil à 43% depuis 1973, qui devient FIAT VI.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la division automation FIAT COMAU en depuis 1973.
Au Brésil, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d'exportation FIAT Automoveis depuis 1973.
En Amérique, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale FIAT Allis à 50% depuis 1974, qui devient la division FIAT MMT en 1966.
En Amérique, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la firme Allis Chalmer Corporation oeuvrant dans les engins de terrassement depuis 1974.
En Allemagne, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient l’unité de production FIAT Magirus-Deutz depuis 1974, qui devient IVECO en 1975.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la firme Laverda oeuvrant dans l’agriculture depuis 1975, qui qui passe à X en 2000.
En Europe, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient le groupe industriel FIAT IVECO (Industrials VEhicules COrporation) depuis 1975, qui devient FIAT Industrial en
Au Brésil, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale FIAT FNM (Fábrica Nacional de Motores) depuis 1976 dans la division FIAT IVECO.
En France, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale FIAT SEVELNORD depuis 1978, qui devient FIAT professional.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale FIAT SEVELSUD depuis 1978, qui devient FIAT professional en .
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale FIAT Nuova Saca Motori depuis 1979  dans la division FIAT AVIO.

En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la firme Laverda depuis 1981 dans la division FIAT trattori, qui passe à Argo S.p.A. en 2000.
En France, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la firme Braud depuis 1983 dans la division FIAT trattori.
En Amérique, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la firme Hesston depuis 1983 dans la division FIAT trattori, qui passe à AGCO en 2000.
En 1983, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale FIAT SOMECA depuis 1983 dans la division FIAT trattori.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient division industrielle FIAT AGRI.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale Alfa Romeo en Italie depuis 1984  dans la division FIAT Auto.
En 1984, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale Alfa Romeo en Italie pour Fiat IVECO.
En 1984, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la marque automobile Alfa Romeo.
En 1984, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient le groupe industriel Alfa Romeo en Italie.
En 1985, intégration dans la filiale FIAT Lancia de la filiale Autobianchi et disparition de la marque.
En 1986, acquisition parLe groupe F.I.A.T S.p.A. de la firme Alfa Romeo au groupe gouvernemental IRI pour éviter la main-mise de FORD.
En 1986, intégration par la filiale FIAT Avio de la filiale ALFA Avio.
En Angleterre, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale Ford UK Trucks dès 1986 .
En 1986, le groupe FIAT rachète le groupe Alfa Romeo en 1986 pour empêcher le groupe Ford de s'implanter en Italie.
En 1987, le groupe FIAT rachète la marque Maserati en 1987 pour empêcher le groupe Ford de s'implanter en Italie.
En 1988, intégration parLe groupe F.I.A.T S.p.A. des filiales F.I.A.T Agri et F.I.A.T Allis au sein de F.I.A.T Geotech.
En 1988, intégration par la filiale FIAT GeoTech de FIAT MMT, FIAT AGRI et 100% de Allis Chalmers Corporation oeuvrant dans les engins de terrassement aux USA.
En 1988, le groupe FIAT rachète la marque Ferrari en 1988 pour empêcher le groupe Ford de s'implanter en Italie.
En 1989, acquisition parLe groupe F.I.A.T S.p.A. de 40% de la firme Ferrari, portant sa participation à 90%.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la firme Innocenti en 1989 pour empêcher le groupe Ford de s'implanter en .
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale la division avions Fiat Avio depuis 1989.
En Angleterre, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale Seddon Atkinson depuis 1990  dans la division FIAT VI.
En Espagne, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale ENASA depuis 1990 dans la division FIAT IVECO.
En Angleterre, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale Ford New Holland depuis 1991 dans la division FIAT GEOTECH.
En Pologne, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale FIAT FSM en Pologne depuis 1991 dans la division FIAT Auto.
En Amérique, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale tracteur Ford New Holland depuis 1991.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la marque Innocenti depuis 1993 dans la division FIAT Auto.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la marque Maserati depuis 1993 dans la division FIAT Auto.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale FIAT BPD Difesa & Spazio depuis 1994  dans la division FIAT AVIO).
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale ALFA AVIO en Italie depuis 1996 dans la division FIAT AVIO).
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale FIAT SEPA en Italie depuis 1996 dans la division FIAT AVIO).
En Chine, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale détient la filiale FIAT NAIG (Nanjing Automotive Industry Group) en Chine depuis 1996.
En Amérique, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient le groupe Case Global depuis 1999 dans la division FIAT CNH.
En Amérique, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale tracteur Case IH depuis 2000.
En France, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la firme Heuliez depuis 2003.
En France, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la division FIAT IRISBUS depuis 2003 dans la division FIAT BUS.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale motorisation FIAT FTP (Fiat Powertrain Technologies) depuis 2005.
En Espagne, le groupe FIAT détient la firme Santana depuis 2006.
En Chine, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d'exportation FIAT NAIG (Nanjing Automotive Industry Group) de 2006 à 2009.
En Inde, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d'exportation FIAT TATA depuis 2006.
En Europe, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la division Fiat Professional pour les utilitaires depuis 2007.
En Amérique, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d’exportation New Holland depuis 2008 dans la division FIAT AGRI.
En Amérique, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d’exportation Case IH depuis 2008, dans la division FIAT AGRI.
En Autriche, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d’exportation Steyr depuis 1996 dans la division FIAT CNH.
En Serbie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d’exportation Zastava depuis 2008.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient l’unité de production Bertone depuis 2009.
En Chine, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d'exportation FIAT GAIG (Guanzhou Automobile Industry Group) depuis 2009.
En Russie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d'exportation FIAT Sollers depuis 1910, qui passe à Ford en 2011.
En Amérique, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient le groupe industriel Chrysler depuis 2011.
En Amérique, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la marque automobile Chrysler depuis 2011 dans la division FIAT auto.
En Amérique, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la marque automobile Dodge depuis 2011 dans la division FIAT auto.
En Amérique, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la marque automobile Jeep depuis 2011 dans la division FIAT auto.
En Amérique, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la marque automobile RAM en Amérique depuis 2011 dans la division FIAT professional.
En Italie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient l’unité de production FIAT VM (Venturi Motor) depuis 2011.
En Russie, le groupe F.I.A.T S.p.A. détient la filiale d'exportation FIAT Russia depuis 2011.

Source   :   Wikipedia   (page mise à jour le 02/07/2012)

26 oct. 2011

Mondialisation

Limité à la langue française et influencé parle paradigme français, le journaliste d’outre jura réalise que le monde automobile est devenu mondial.

Le journaliste d'outre jura s'aperçoit en effet que le groupe VAG regroupe des modèles qui se ressemblent étrangement. La raison en est que les marques Volkswagen, Audi, Seat, Skoda partagent les mêmes châssis, les mêmes moteurs et les mêmes boîtes de vitesses. Bien que le journaliste d'outre jura juge tous ces composants très moyens et d’une fiabilité pas supérieure à la moyenne, il se rend compte qu'ils autorisent tout de même de substantielles économies d’échelle. Par conséquent, le journaliste d'outre jura ne s'étonne pas de voir le groupe VAG en passe de devenir le premier groupe mondial, car il sait que la force de se groupe réside en sa publicité, qui met en avant la qualité germanique et qui fait croire qu’un prix élevé est synonyme de qualité. Or, ce journaliste sait que les marges dégagées par ces prix surfaits sont essentiellement utilisées pour financer de la publicité qui à son tour influe sur les mentalités et permet d'augmenter les ventes. C'est pour cette dernière raison que la presse hexagonale prend le parti de ses constructeurs nationaux.

Pour lutter sur tous les marchés, le groupe VAG a racheté la prestigieuse Bentley, après avoir échoué à lancer un haut de gamme crédible avec la Phaeton. Pour lutter dans le domaine sportif, le groupe VAG avait aussi pris possession sur les terres de la Fiat, de la merveilleuse marque Lamborghini, ce qui a permis à Audi d’émerger. Il avait également fait l’acquisition de la filiale espagnole de Fiat, la SEAT, pour concurrencer Alfa Romeo, mais heureusement sans succès. Au Brésil, le groupe VAG tente de concurrencer la FIAT dans le domaine de la voiture populaire. Aux Etats-Unis, le groupe VAG lance des rumeurs de rachat d’Alfa Romeo, car il craint l’essor de cette marque au pays de l'oncle Sam. Dans le domaine du 4x4, il essaie de s’emparer de la marque Suzuki. Heureusement, cette mégalomanie fait que le groupe allemand perd de l’argent avec Bentley, avec Lamborghini et avec SEAT, mais le journaliste d'outre jura se rend compte qu'une entreprise qui appartient à un Land est plus concurrentielle qu'une entreprise qui appartient à des financiers véreux.

Le journaliste d'outre jura s'interroge alors sur le groupe GM, qui partage aussi ses châssis et ses moteurs entre plusieurs marque et plusieurs modèles. Le journaliste se rend compte que le groupe américain, même s’il a du interrompre la fabrication des Saab, Saturn et Pontiac, a réussi a conserver la marque Opel, car elle partage beaucoup de ses composants avec la Fiat.

Le journaliste d'outre jura s'interroge alors sur l'autre groupe américain, le groupe Ford, qui partage également ses châssis et ses moteurs entre plusieurs marques et plusieurs modèles. Là ausssi, le journaliste se rend compte que le groupe américain, même s’il a du interrompre la fabrication des Volvo, Jaguar, Rover et Land Rover, il a réussi a conserver Ford en Europe, car elle partage beaucoup de ses composants avec la Fiat.

Le journaliste d'outre jura réalise alors que le groupe Fiat possède de manière native des unités de production indépendantes, dévolues à la fonderie, à l’électronique, aux machines-outils, aux moteurs. Axé sur son territoire national, le journaliste réalise aussi soudainement que le groupe Fiat possède également des unités d’assemblage et de vente réparties dans plusieurs pays et il regrette à ce moment d'avoir continuellement empêché le groupe Fiat de s'implanter en France. Cependant, le journaliste d'outre jura ne réalise pas que le groupe Fiat a du diviser ses activités en deux holdings dédiées aux automobiles et aux camions, pour échapper aux foudres de l'Union Européenne. Le journaliste d'outre jura ne prend pas non plus conscience que le groupe Fiat a du se séparer des ses prestigieuses filiales aérospatiale et ferroviaire pour surmonter l'échec de sa fusion avec GM. Finalement, le journaliste d'outre jura doute toujours de la pertinence du rachat du groupe Chrysler, qui autorise toutefois une synergie excellente avec la Fiat par leur parfaite complémentarité.

Que doit dire alors le journaliste d'outre jura des constructeurs français, qui après avoir fait disparaître Simca et Panhard, s’obstinent à vouloir présenter trois gammes complètes de modèles concurrents identiques, qui partagent deux bases techniques ? Ce journaliste se rendra compte que ces modèles ne sont présents qu’en Europe, ne rencontrent le succès qu'en France et qu'ailleurs, elles sont totalement inconnues.


source : Wikipedia ( Version de page du 05/04/2012)

22 sept. 2011

Les tribulations du groupe FIAT en France

ou de l'impossibilité de s'imposer en terres françaises

Le gouvernement français ne facilite pas l'implantation de firmes étrangère sur son sol national. Le groupe  transalpin FIAT par exemple n'a pas ménagé ses effort pour s'installer dans l'hexagone. Il a non seulement effectué également d’importants investissements en France, mais il a aussi permis les transferts de technologie, qui profitent aujourd’hui encore à l’économie française. Alors que ce groupe italien a fourni et fournit toujours un nombre important d'emplois en France, son image de marque n'arrive pas à décoller auprès du public.

1926-1932 : 1ère filiale et 1er modèle produit

Le groupe FIAT fonde sa maison mère en Italie au siècle passé : la FIAT (Fabrique Italienne d'Automobiles de Turin), pour commercialiser des véhicules automobiles. 27 années plus tard, en 1926 déjà, le groupe FIAT fonde une première filiale en France : la SAFAF (Société Anonyme Française des Automobiles Fiat) pour commercialiser ses véhicules sur ce marché difficile. Les voitures FIAT sont alors assemblés en divers petits ateliers épars à Surennes (France). Le groupe FIAT produit son premier modèle en France en 1932 grâce à cette filiale SAFAF : c'est la Safaf 6, basée sur la Fiat 508 Balila. Du fait de ses innovations technologiques et de son prix abordable, cette voiture remporte un franc succès et sera commercialisée jusqu'en 1937.

1934-1947 : 2ème filiale, 1ère usine et 4 modèles produits

Le groupe FIAT fonde une seconde filiale en France en 1934 : la SIMCA (Société Industrielle de Mécanique et de Carrosserie Automobile) pour contourner le protectionnisme et échapper aux taxes de 150% grevant les produits non fabriqués en France. Grâce à cette filiale SIMCA, le groupe FIAT produit son second modèle en France en 1934 : la Simca 11, basée sur la Fiat 518 Ardita. Cette voiture luxueuse qui remporte également le succès, sera commercialisée jusqu'en 1937. Comme en 1935 le groupe Rootes sauve de la faillite la filiale du groupe anglais Sunbeam-Talbot-Darracq en France, le groupe FIAT sauve de la faillite en France les usines helvétiques Donnet-Zedel. (Le parisien Donnet avait racheté la firme suisse Zedel de 1896 à l'ingénieur Ernest Zürcher et au mécanicien Herman Luthy). A travers sa filiale SIMCA, le groupe FIAT acquiert ainsi en 1935 une première unité de production en France : l’usine de Nanterre (France), à la tête de laquelle le groupe FIAT nomme Monsieur Pigozzi,
Le groupe FIAT lance son troisième modèle en France en 1936, également grâce à sa filiale SIMCA : c'est la Simca 5, basée sur la Fiat 500 Topolino. Cette petite voiture, qui remporte à nouveau un franc succès du fait de ses innovations technologiques et de son prix abordable, sera commercialisée jusqu'en 1949.
En 1938, le groupe  américain Ford fonde une filiale en France : la Ford SAF et le groupe FIAT produit son quatrième modèle en France grâce à sa filiale SIMCA : la Simca 8 basée sur la Fiat 1100. Remplaçant l'antique Safaf 6 Balila, ce nouveau modèle remporte le succès et sera commercialisé jusqu'en 1951. Le gouvernement français intègre la filiale FIAT SIMCA dans un groupe étatique en 1942 : la GFA (Groupement Français Automobile) pour optimiser la production de véhicules en France.
Le groupe FIAT lance son cinquième modèle en France en 1947,  grâce à sa filiale FIAT SIMCA : la Simca 6, basée sur la Fiat Topolino C. Cette voiture qui remporte également un franc succès du fait de ses innovations technologiques et de son prix abordable, sera produite jusqu'en 1950.

1949-1951 : 3ème filiale, 2ème usine et 6ème modèle produit

Le groupe FIAT sauve la firme UNIC de la faillite en France en 1949, grâce à sa filiale SIMCA. C'est l'occasion pour le groupe FIAT de fonder une troisième filiale en France : la UNIC, spécialisé dans les poids lourds. Dans un premier temps, le groupe FIAT intègre sa filiale UNIC à sa filiale française SIMCA Industries. Par la suite, le groupe FIAT l'intègrera à sa propre filiale globale FIAT VI. L'acquisition de la firme UNIC par sa filiale SIMCA en 1949, autorise également le groupe FIAT à disposer d'une seconde unité de production en France : l'usine de Trappes (France). Le groupe FIAT lance un sixième modèle en France en 1951, grâce à sa filiale SIMCA : la Simca 9 Aronde basée sur la FIAT 1400 à carrosserie autoporteuse. Cette voiture remporte un franc succès du fait de ses innovations technologiques et de son prix abordable.

1953-1955 : 4ème filiale, 3ème usine et 7ème modèle produit

Le groupe FIAT sauve la firme MAP de la faillite en France en 1953  et le groupe FIAT fonde alors une quatrième filiale en France : la SOMECA pour commercialiser ses engins agricoles.
Pendant que le groupe Chrysler acquiert le groupe Rootes en Angleterre en 1954, le groupe FIAT sauve la filiale de Ford en France de la faillite en échange de 15% de sa propre filiale SIMCA. Par cette opération risquée, le groupe FIAT intègre la filiale française de Ford à sa propre filiale française SIMCA. L'acquisition de la filiale Ford SAF par sa filiale SIMCA autorise également le groupe FIAT à disposer d'une troisième unité de production en France en 1954, : l'usine de Poissy (France).
Alors que le groupe Ford acquiert en 1954, 15% de la filiale française de FIAT en échange de sa filiale Ford SAF, le groupe FIAT lance un septième modèle en France : la Simca Vedette I, basée sur la Ford Vedette. Cette voiture remporte en France un franc succès du fait de ses innovations technologiques et de son prix abordable, si bien que le groupe FIAT lance en 1955, une variante dans la gamme Vedette : la Simca Marly station wagon.

1956-1963 : 5ème filiale, 4ème usine et 8ème modèle produit

Le groupe FIAT acquiert la filiale française du groupe suisse Saurer, spécialisé dans les poids lourds en 1956 grâce à sa filiale SIMCA. Le groupe FIAT peut ainsi intégrer la filiale française de Saurer avec sa propre filiale française UNIC dans SIMCA Industries. Mais cette acquisition autorise également le groupe FIAT à disposer d'une quatrième unité de production SIMCA en France : l'usine de Suresnes (France). Par la suite, le groupe FIAT intègrera la filiale française du groupe suisse Saurer avec sa propre filiale française UNIC dans sa propre filiale globale FIAT VI.
Le groupe FIAT lance en 1957,  une variante dans la gamme Vedette en France grâce à sa filiale SIMCA : la Simca Ariane, basée sur le chassis Ford Vedette avec le moteur FIAT 1400. Cette même année, le groupe FIAT, pour utiliser les stocks de la gamme Vedette,  lance en France à travers sa filiale FIAT SIMCA les variantes  : Présidence, Chambord, Beaulieu et Marly. Mais, le groupe Chrysler acquiert 15% de la filiale FIAT en France au groupe Ford en 1958, sans que le groupe FIAT ne puisse s’y opposer. Cette même année 1958, le groupe Chrysler acquiert auprès du groupe FIAT 10% de la filiale FIAT en France en échange de 100% de la marque Talbot. Cette opération permet au groupe Chrysler de porter portant sa participation dans la filiale FIAT en France à 25%.
Le groupe FIAT acquiert la marque Talbot en France au groupe Rootes en 1958 et l'intègre à sa propre filiale SIMCA Industries en France. L'acquisition de la filiale Talbot par le groupe FIAT autorise également sa filiale SIMCA Industries à disposer d'une cinquième unité de production en France : l’usine de Suresnes (France). Cette même année 1958, la filiale française SIMCA permet au groupe FIAT de lancer en France une ultime variante dans la gamme Aronde, la Simca P 60 et un coupé Talbot Lago America équipé du V8 à soupapes latérale de la Simca Vedette.
Le groupe FIAT lance un huitième modèle en France en 1961, grâce à sa filiale SIMCA : la Simca 1000, basée sur la Fiat 850. Cette voiture remporte un franc succès du fait de ses innovations technologiques et de son prix abordable, jusqu’en 1980.
Mais, le groupe Chrysler acquiert 41% de la filiale SIMCA, sans que le groupe FIAT ne puisse s’y opposer et cette opération permet au groupe Chrysler de porter sa participation en France à 64% en 1963.

1965-1978 : 6ème filiale et 9ème modèle produit

En réponse à ce grignotage du groupe américain en France, le groupe FIAT intègre en 1965 sa filiale française SOMECA dans sa propre filiale FIAT Trattori. Le groupe FIAT intègre aussi en 1966 sa filiale française UNIC, la filiale du groupe suisse Saurer et la filiale SOMECA dans la division véhicules industriels de Fiat France S.A. (FFSA), elle même intégrée à sa propre filiale globale FIAT VI.
En 1970, le groupe Chrysler acquiert 100% de la filiale française du groupe FIAT et intègre SIMCA à sa propre filiale européenne, aux côtés de Barrerios en Espagne et ROOTES en Angleterre, sans que le groupe FIAT ne puisse s’y opposer.
Le groupe FIAT met alors un terme à l'aventure SIMCA en France, mais disposant de beaucoup de liquidités,  le groupe FIAT veut sauver de la faillite la filiale automobile du groupe Michelin d'entente avec ce dernier. Le groupe FIAT acquiert alors jusqu'en 1974 plus de 49% du capital de la firme Citroën en France en vue de son  rachat comme sixième filiale en France.
Bien que Michelin, Citroën et FIAT collaborent ensemble depuis longtemps et aspirent à cette prise de contrôle, le gouvernement français de l'époque s'immisce dans l'économie, en opposant son veto à cette reprise, pour de pures raisons nationalistes. Le groupe FIAT lance cependant un neuvième modèle en France en 1974, grâce à sa filiale FIAT Citroen : le Citröen C35, basée sur la Fiat 242. Cette voiture remporte un franc succès du fait de ses innovations technologiques et de son prix abordable, jusqu’en 1991. Mais les études pour produire un petit modèle basé sur le châssis de la Fiat 127, n'aboutiront qu'aux monstrueuses LN, LNA, AXEL et C15, qui avaient du reprendre le modeste châssis de la 104.
En réponse à l'attitude négative du gouvernement français, le groupe FIAT intègre sa filiale UNIC en France dans sa filiale IVECO  en 1975. Puis le groupe FIAT liquide ses 49% de participation dans la filiale automobile de Michelin et laisse le fabricant local de cycle français PSA se débrouiller avec la marque Citroen, malgré les accords conclus avec Michelin. Cette même année 1975, la marque Maserati, qui avait été acquise par Michelin en 1968 est reprise par de Tomaso et échappe au groupe FIAT.

1978-1998 : 7ème filiale

Le groupe américain Chrysler liquide en 1978, ses filiales Chrysler-SIMCA en France, Chrysler-Barrerios en Espagne, Chrysler-ROOTES en Angleterre.
En France, le groupe indigène PSA renomme cette ancienne filiale du groupe FIAT, du nom de SIMCA à celui de Talbot, après l'avoir reprise des mains de l'américain.
Cependant, cette même année 1978, peu rancunier, le groupe FIAT fonde sa septième filiale en France : la SEVELNORD pour fabriquer des utilitaires avec le groupe autoctone PSA.

1999-2017 : 8ème filiale

Le groupe FIAT fonde une huitième filiale en France en 1999 : l'IRISBUS pour fabriquer des cars avec le constructeur local RSA. Mais suite au retrait de ce dernier, la holding FIAT rachète 100% de la filiale IRISBUS active dans les cars, autocars et bus en 2003. Par la même occasion, le groupe FIAT met la main sur la firme Heuliez.
Cependant, en 2000, le groupe Fiat doit se séparer de son prestigieux département ferroviaire, qui produit les splendides Pendolino, au profit de la firme française Alsthom. Cette dernière entreprise compte bien utiliser les avancée technologique de FIAT pour améliorer les boggies de ses TGV, qui ne savent aller vite que tout droit.
D'autre part en 2012, le groupe FIAT acquiert aux États-Unis 61.85% du groupe Chrysler, ce qui lui procure de bien meilleurs débouchés que l'exigu marché français. Ironie de l'histoire, ce groupe américain, qui avait racheté la filiale française du groupe italien et l'avait ainsi empêché de s'installer de manière définitive en France, est maintenant lui-même une filiale de la holding FIAT avec ses marques Chrysler, Dodge et Jeep, bien connues des consommateurs français.
Alors, le groupe américain GM tout juste sorti de la faillite, prend une participation dans le groupe français PSA en 2012, pour sauver sa filiale allemande Opel. Ce rachat entraîne que le groupe américain Ford et le groupe allemand BMW cessent tout deux leur coopération avec le constructeur français PSA. D'ailleurs, en 2017, la holding FIAT qui produit dorénavant ses utilitaires dans sa filiale TOFAS en Turquie liquidera également sa filiale SEVEL détenue en France avec ce même constructeur local.
Ce bref historique démontre le peu d’attractivité du marché français, entièrement dévolu aux marques agrées par le gouvernement central de Paris et complétement fermé à la nouveauté. Le groupe FIAT, grâce à sa filiale américaine peut maintenant se désengager de ses alliances contre-productives et revenir sur le marché hexagonal avec des marques connues des consommateurs français telles Chrysler, Dodge et Jeep qui seront bien accueillies en ces terres peu hospitalières.

Source :  Wikipedia  (page actualisée le 12/07/2012)

7 juil. 2011

Nationalisme étatique contre libéralisme économique

1910 – 1918
Dans les années mille neuf cent, le prestigieux groupe FIAT crée la marque FIAT Motors Corporation (FMC) en collaboration avec des industriels américains. Mais dans les années mille neuf cent dix, le gouvernement américain s'immisce dans l'économie, en obligeant le prestigieux groupe FIAT à se séparer de sa filiale FMC pour de pures raisons nationalistes. Bien que des technologies italiennes avancées tombent en mains américaines, le groupe Rochester n'arrive pas à reprendre les lignes de production et abandonne la marque.

1922 – 1957
Dans les années trente, le prestigieux groupe FIAT crée la marque NSU en collaboration avec un fabricants de bicyclette allemand. Mais dans les années soixante, le groupe automobile allemand AUDI oblige le prestigieux groupe FIAT à se séparer de sa filiale NSU pour de pures raisons économiques. Bien que des technologies italiennes avancées tombent en mains allemandes, le groupe VAG n'arrive pas à reprendre les lignes de production et fait disparaître la marque.

1934 – 1962
Dans les années trente, le prestigieux groupe FIAT crée la marque SIMCA en collaboration avec le gouvernement français. Mais, dans les années soixante, le gouvernement français s'immisce dans l'économie, en obligeant le prestigieux groupe FIAT à se séparer de sa filiale SIMCA pour de pures raisons nationalistes. Bien que des technologies italiennes avancées tombent en mains américaines, le groupe Chrysler n'arrive pas à reprendre les lignes de production et revend la marque à PSA. Bien que des technologies italiennes avancées tombent en mains françaises, le groupe PSA n'arrive pas à reprendre les lignes de production et clone ses propres modèles.

1934 -
Dans les années trente, le prestigieux groupe FIAT crée la marque Polski avec le gouvernement communiste Polonais. Cette marque perdure jusque dans les années nonante, où elle est privatisée et devient FIAT Poland. Cette unité de production ultramoderne produit des chassis et des moteurs, également pour Ford, jusqu'à nos jours.

1950 – 1982
Dans les années cinquante, le prestigieux groupe FIAT crée la marque SEAT en collaboration avec le gouvernement fasciste espagnol. Mais dans les années huitante, le gouvernement espagnol s'immisce dans l'économie, en obligeant le prestigieux groupe FIAT à se séparer de sa filiale SEAT pour de pures raisons nationalistes. Bien que des technologies italiennes avancées tombent en mains espagnoles, le groupe n'arrive pas à reprendre les lignes de production et la cède à VAG. Bien que des technologies italiennes avancées tombent en mains allemandes, le groupe VAG n'arrive pas à reprendre les lignes de production et clone ses propres modèles.

1953 -
Dans les années cinquante, le prestigieux groupe FIAT crée la marque Zastava avec le gouvernement communiste Yougoslave. Cette marque, aussi active dans le domaine des camions perdure jusque dans les années septante, où elle prend le nom de Yugo. Malgré une dette colossale, la marque continue de produire pour FIAT jusqu'à nos jours.

1955 – 1985
Dans les années cinquante, le prestigieux groupe FIAT crée la marque Autobianchi en collaboration avec le fabricant de pneumatique Pirelli. Cette marque perdure jusque dans les années soixante, où elle est intégrée comme modèle urbain dans la gamme Lancia et finit par disparaître comme marque.

1966 – 1999
Dans les années nonante, le gouvernement russe s'immisce dans l'économie, en obligeant le prestigieux groupe FIAT à se séparer de sa filiale LADA pour de pures raisons nationalistes. Des technologies italiennes avancées tombent alors en mains américaines, puis russes et finalement française. Or le groupe GM n'arrive pas à reprendre les lignes de production et laisse la marque dans l'expectative au XXI siècle.

1974 – 1974
Dans les années septante, le gouvernement français s'immisce dans l'économie, en empêchant le prestigieux groupe FIAT d’acquérir l’endémiquement déficitaire marque Citroën, pour de pures raisons nationalistes. Alors que le groupe FIAT s'est beaucoup investit dans divers modèles et détient déjà 49% du capital, le fabricant de pneumatique Michelin n'est pas autorisé à lui en céder la majorité. Des technologies italiennes avancées tombent alors en mains françaises. Or le groupe PSA n'arrive pas à reprendre les lignes de production et clone ses propres modèles.

1986 –
Dans les années huitante, le gouvernement italien s'immisce dans l'économie, en menaçant de vendre la prestigieuse marque Alfa Romeo au groupe américain FORD. Le groupe FIAT est alors contraint et forcé d’acquérir la sportive marque Alfa Romeo pour éviter que des technologies italiennes avancées ne tombent en mains américaines.

1980 – 1989
Dans les années huitante, le gouvernement suédois s'immisce dans l'économie, en empêchant le prestigieux groupe FIAT d’acquérir l’endémiquement déficitaire marque Saab pour de pures raisons nationalistes. Le gouvernement suédois manifeste alors sa préférence pour un grand groupe américain et des technologies italiennes avancées tombent alors en mains américaines. Or le groupe GM n'arrive pas à reprendre les lignes de production et fait disparaître la marque au XXI siècle.

2000 – 2005
Dans les années deux mille, le prestigieux groupe FIAT pense que fusionner avec un groupe plus grand fiabilisera sa survie. Or GM n’eût de cesse que de décrier son partenaire sur les marchés pour faire baisser sa cotation et pouvoir le racheter à vil prix. Dans le même temps, le groupe américain débauchait les ingénieurs italiens et acquérait tout le savoir-faire de ses brevets. Seule une rupture d’accord permit la survie du prestigieux groupe FIAT, qui se releva par lui-même en se séparant de ses prestigieuses divisions aérospatiale et ferroviaire. Mais le groupe FIAT perdit dans l'affaire sa collaboration avec le propriétaire russe de LADA, le propriétaire chinois de NAIC.

2008 - 2008
Dans les années deux mille, le gouvernement allemand s'immisce dans l'économie, empêche le prestigieux groupe FIAT d’acquérir l’endémiquement déficitaire marque Opel pour de pures raisons nationalistes. Le gouvernement allemand manifeste alors sa préférence pour un équipementier autrichien. Les technologies italiennes tombent alors en mains américaines, car la marque reste dans le giron du groupe GM.

2009
Dans les années deux mille, le gouvernement américain s'immisce dans l'économie, aide le prestigieux groupe FIAT d’acquérir l’endémiquement déficitaire groupe Chrysler. Le gouvernement pose de telles conditions à la reprise du groupe en faillite, que dans les faits, c'est Chrysler qui produit des modèles américains pour le groupe italien et que les unités de productions en Italie ferment les unes après les autres, alors que les technologies italiennes tombent sont en mains américaines.

14 mars 2011

Concentration des groupes automobiles britanniques

 Comme la première révolution industrielle se produit tout d'abord en Angleterre, l'industrie tournant autour des véhicules semi-automobiles prit rapidement son essor dans ce pays et essaima dans le reste du monde.

(I) le cas de Vickers, Armstrong et Withworth
  • En 1828, la firme anglaise Vickers est fondée à Sheffield, comme une fonderie d'acier par Edward Vickers et son beau-père George Naylor.
  • En 1867, la firme anglaise Vickers, Sons & Company est fondée à Sheffield.
  • En 1868, la firme anglaise Vickers, Sons & Co produit des arbres moteurs de navires.
  • En 1872, la firme anglaise Vickers, Sons & Co produit des hélices de navires.
  • En 1877, la firme anglaise Rover est fondée par James Starley et Josiah Turner à Coventry.
  • En 1888, la firme anglaise Vickers, Sons & Co produit des blindages.
  • En 1890, la firme anglaise Vickers, Sons & Co produit des pièces d'artillerie.
  • En 1897, la firme anglaise Vickers, Sons & Co achète ensuite le constructeur naval Barrow in Furness.
  • En 1897, la firme anglaise Vickers, Sons & Co fonde la firme anglaise Naval Construction Yard.
  • En 1897, la firme anglaise Vickers, Sons & Co achète le fabricant de la mitrailleuse Maxim et de la mitrailleuse Nordenfeldt.
  • En 1897, la firme anglaise Vickers, Sons & Co fonde la firme anglaise Vikers Sohn & Maxim.
  • En 1905, la firme anglaise Vickers, Sons & Co achète la firme anglaise Wolseley Tool & Motor Car Co, active dans l'automobile.
  • En 1911, la firme anglaise Vickers, Sons & Co achète la firme anglaise Whitehead and Co, active dans les torpilles
  • En 1919, la firme anglaise Vickers, Sons & Co achète la firme anglaise British Westinghouse, active dans les fournitures électriques.
  • En 1919, la firme anglaise Vickers, Sons & Co fonde la firme anglaise Metropolitan Vickers Electrical Company.
  • En 1927, la firme anglaise Vickers, Sons & Co fusionne avec la firme anglaise Armstrong Whitworth.
  • En 1927, la firme anglaise Vickers, Sons & Co fonde la firme anglaise Vickers-Armstrongs, Ltd.
  • En 1928, la firme anglaise Vickers, Sons & Co fonde la firme anglaise Vickers Ltd, à partir de la division aéronautique de Armstrong Whitworth.
  • En 1928, la firme anglaise Vickers Ltd achète la firme anglaise Supermarine.
  • En 1936, la firme anglaise Vickers Ltd développe le Supermarine Spitfire.
  • En 1936, la firme anglaise Vickers Ltd développe le Vickers Wellington.
  • En 1938, la firme anglaise Vickers Ltd fonde Vickers-Armstrongs (Aircraft) Ltd.
  • ...
  • En 1967, la firme anglaise Rover fusionne avec la Leyland Motor Company British Motor Corporation pour devenir British Leyland
  • ...
  • En 2004, la firme anglaise Alvis Vickers est vendus à BAE Systems.
  • En 2004, la firme anglaise Alvis Vickers fonde BAE Systems Land Systems.


(II) le cas de Wolseley, Riley et Siddeley

 En 1887, la firme Wolseley Sheep Shearing Machine Co. Ltd est fondée à Sydney en Australie par l'Anglais Frederick York Wolseley et l'année d'après, elle est dirigée par l'anglais Herbert Austin à Sydney. Rencontrant des problème d'approvisionnement en Australie, la firme anglaise Wolseley Engineering Ltd est rapatriée en 1889 par le fondateur Frederick York Wolseley, à Birmingham en Angleterre, sous la direction de Herbert Austin. En 1896, la firme anglaise Wolseley Engineering Ltd se diversifie dans l’automobile, sous l’impulsion de son directeur Herbert Austin, alors qu'apparaît le fabricant anglais de cycle Riley Cycle Co. est fondé par William Riley.
 En 1901, la firme Wolseley Tool & Motor Car Co. Ltd est vendue au groupe anglais Vickers Son & Maxim ltd, qui produira ultérieurement Rover. Cette même année, la firme anglaise Wolseley Motors Co. (WMC) est dirigée par Herbert Austin. L'année suivante, en 1902,  la marque anglaise Siddeley Autocar Company (SAC) est fondée par John Davenport Siddeley et est rachetée la même année par la firme anglaise Wolseley Motors Co. (WMC), dirigée par Herbert Austin. En 1903, la marque anglaise Riley Engine Company (REC) est fondée par Victor, Percy et Alan Riley.  En 1905, la firme Vickers, Sons & Company rachète le constructeur automobile Wolseley Tool and Motor Car Company, la filiale de Wolseley Sheep-Shearing Machine Company. La même année, la marque anglaise Austin Motor Company est fondée par Herbert Austin à Longbridge, alors que la marque anglaise Wolseley-Siddeley (WS) est fondée par le groupe anglais Vickers Son & Maxim ltd. En 1906, la marque anglaise Armstrong Whithworth est fondée par Sir W.G. Armstrong.
 En 1911, la firme Vickers, Sons & Company rachète le manufacturier de torpilles Whitehead and Company et devient Vickers Ltd. La même année, Vickers se diversifie dans l’aviation et l'année suivante en 1912, la marque anglaise Riley Cycle Company devient Riley ltd, spécialisé dans les roues de voiture à rayons. En 1914, le groupe anglais Wolseley-Siddeley fonde la marque anglaise Wolseley Motor Co. (WMC) et la filiale canadienne Wolseley Motors Co (WMC). Quatre ans plus tard, en 1918, le groupe anglais Wolseley-Siddeley fonde la filiale japonaise Wolseley Motors Co.(WMC), qui deviendra Isuzu. Puis l'anée d'après, en 1919, la marque anglaise Siddeley Deasy fusionne avec Armstrong Whithworth pour former Armstrong Siddeley. La même année 1919, la firme Vickers ltd rachète la compagnie de fournitures électriques British Westinghouse et se diversifie dans le rail.  En 1927, la firme anglaise Vickers ltd fusionne avec la compagnie d'ingénierie Armstrong Whithworth fondée par William George Armstrong, et devient la Vickers-Armstrongs, Ltd. L’année d’après, en 1928, le groupe anglais Vickers-Armstrongs rachète la firme Supermarine fondée en 1916. Un an plus tard, en 1929, les firmes anglaises Armstrong Whitworth et Vickers fusionnent leurs secteurs ferroviaires et aéronautiques.
 En 1936, le groupe anglais Vickers-Armstrongs sort le Supermarine Spitfire, chasseur de renommée mondiale qui s'opposa victorieusement aux forces de l'Axe.

(III) le cas du groupe Austin Motor Company (AMC)

 En 1906, la marque anglaise Austin Motor Co. (AMC) est fondée à Longbridge par Herbert Austin, un transfuge de Wolseley Motors Co. (WMC). La firme produit plusieurs modèles et en 1922, la marque anglaise Austin Motor Co. (AMC) sort la Seven en Angleterre et dans le même temps fait fabriquer la Seven par la firme allemande Dixi, future BMW. Puis en 1923, la marque anglaise Austin Motor Co. (AMC) fait fabriquer la Seven par la firme française Rosengart et la même année 1923, la carrosserie anglaise Vanden Plas England Ltd est créée.
Trois ans plus tard, en 1926, la marque anglaise Austin Motor Co. (AMC) fait fabriquer la Seven SSC par la marque anglaise Swallow Sidecar Company (SSC), la future Jaguar. En 1929, la marque anglaise Austin Motor Co. (AMC) fait également fabriquer la Seven par la firme américaine American Austin Car Co. (AACC).
Dix ans plus tards, en 1933, la marque anglaise Austin Motor Co. (AMC) est aussi produite par la firme japonaise Datsun, mais sans license (copie) et l'année suivante, en 1934, la marque anglaise Austin Motor Co. (AMC)  décide d'arrêter la filiale American Austin Car Co. (AACC). Deux ans après, en 1936, Herbert Austin est annobli Baron of Longbridge. Durant la Seconde Guerre mondiale, la marque anglaise Morris fabrique des moteurs d'avions, un tracteur d'artillerie et des chars d'assaut. Finalement, en 1952, la firme anglaise Austin Motor Co. (AMC) fusionne avec le groupe anglais Morris Motor Co. (MMC) et est intégrée dans le groupe anglais British Motor Corp. (BMC). En conséquence, la firme anglaise Austin Motor Co. (AMC) disparaît, mais subsiste en tant que marque.Le groupe Austin Motor Company (AMC) a fortement contribué aut développement de l'automobile à travers le monde grace à ces transferts de technologie. En effet, comme il ne détenait pas plusieurs marques, il a fait fabriquer ses modèles sous licence par diverses firmes à travers le monde, comme par exemple l'Austin Seven :
  • Le modèle Austin Seven fabriqué dès 1922 par la firme anglaise Austin à Longbridge.
  • Le modèle Austin Seven fabriqué dès 1922 par la firme allemande BMW Dixi.
  • Le modèle Austin Seven fabriqué dès 1923 par la firme française Rosengart.
  • Le modèle Austin SSC fabriqué dès 1926 par la firme anglaise Swallow Sidecar Company (SSC).
  • Le modèle Austin Bentam fabriqué dès 1929 par la firme américaine American Austin Car Co. (AACC).
  • Le modèle Austin Seven fabriqué dès 1933 par la firme japonaise Datsun sans licence.
  • Vanden Plas fondée en 1912 par la firme belge Van den Plas et rachetée en 1946 par Austin.
  • Austin-Healey fondée en 1952 par Herbert Austin et Donald Healey.
Cette organisation participe à l’effort de guerre en produisant des bombardiers et des camions. Ce groupe disparaît en 1952, en se fondant dans British Motor Corporation (BMC).
  • En 1906, la firme anglaise Austin Motor Company (AMC) est fondée à Longbridge par Herbert Austin, un transfuge de Wolseley (WMC).
  • ...
  • En 1922, la firme anglaise Austin Motor Co. (AMC) sort la Seven en Angleterre.
  • En 1922, la firme anglaise Austin Motor Co. (AMC) fait fabriquer la Seven par la firme allemande Dixi, future BMW.
  • En 1923, la firme anglaise Austin Motor Co. (AMC) fait fabriquer la Seven par la firme française Rosengart
  • En 1923, la firme anglaise Austin Motor Co. (AMC) fonde la carrosserie anglaise Vanden Plas England Ltd,
  • En 1926, la firme anglaise Austin Motor Co. (AMC) fait fabriquer la Seven SSC par la marque anglaise Swallow Sidecar Company (SSC), future Jaguar.
  • En 1929, la marque anglaise Austin Motor Co. (AMC) fait également fabriquer la Seven par la firme américaine American Austin Car Co. (AACC).
  • En 1933, la firme anglaise Austin Motor Co. (AMC) est aussi copiée par la firme japonaise Datsun, sans license.
  • En 1934, la firme anglaise Austin Motor Co. (AMC) décide d'arrêter la filiale American Austin Car Co. (AACC).
  • En 1936, la firme anglaise Austin Motor Co. (AMC) voit son directeur, Herbert Austin être annobli Baron of Longbridge.
  • Durant la Seconde Guerre mondiale, la marque anglaise Morris fabrique des moteurs d'avions, un tracteur d'artillerie et des chars
  • d'assaut.
  • En 1948, la firme anglaise Austin Motor Co (AMC) sort le modèle MINI, conçu par Alec Issigonis.
  • En 1952, la firme anglaise Austin Motor Co (AMC) fusionne avec la marque anglaise Morris Motor Co (MMC)
  • En 1952, la firme anglaise Austin Motor Company (AMC) devient une marque au sein de British Motor Co (BMC).
  • En 1960, la firme anglaise Austin Motor Company (AMC) fait fabriquer la MINI par Innocenti en Italie.
  • ...
  • En 1988, la firme anglaise Austin devient une marque au sein de Rover Group.
  • En 2005, la firme anglaise Austin devient une marque au sein de Shanghai Automotive Industry Corporation (SAIC).


(III) le cas du groupe Morris Motor Company (MMC)

 La firme anglaise Morris Motor Company (MMC) est fondée par William Morris à Oxford en 1910. Treize ans plus tard en 1923, la firme anglaise Morris Motor Company (MMC) rachète l’usine HotchKiss de Londres, fondée en 1914, puis l'usine anglaise Ford England, fondée en 1909. Cette même année 1924, la firme anglaise Morris Motor Company (MMC) fonde la firme anglaise Morris Garage (MG) à Oxford. Quatre ans plus tard en 1928, la firme anglaise Morris Motor Company (MMC) lance la Morris Minor et grâce au succès rencontré, le groupe anglais Morris Motor Company (MMC) rachète en 1930 la marque anglaise Wolseley Motors Ltd (WML), fondée en 1901. Puis cinq ans plus tard en 1935, le groupe anglais Morris Motor Company (MMC) rachète MG, qu'il a fondé en 1924. Finalement en 1938, le groupe anglais Morris Motor Company (MMC) rachète Riley, fondé en 1896 et devient Nuffield Organisation.
  • En 1910, la firme anglaise Morris Motor Co (MMC) est fondée par William Morris à Oxford.
  • En 1928, la firme anglaise Morris Motor Co (MMC) sort le modèle Morris Minor.
  • En 1938, la firme anglaise Morris Motor Co (MMC) absorbe les marques Wolseley, MG et Riley.
  • En 1938, la firme anglaise Morris Motor Co (MMC) devient Nuffield Organisation (NO).
  • En 1938, la firme anglaise Morris Motor Co (MMC) devient une marque au sein de Nufield Organisation (NO).
  • En 1952, la firme anglaise Morris Motor Co (MMC) fusionne avec la firme anglaise Austin Motor Co (AMC).
  • En 1952, la firme anglaise Morris Motor Co (MMC) devient une marque au sein de British Motor Co (BMC).
  • ...
  • En 1987, la firme anglaise Morris Motor Co (MMC) disparaît sur l'autel de la rentabilité.
La fusion des marques du groupe Morris Motor Company (MMC) en 1938 donne naissance au groupe Nuffield Organisation (NO). Ce groupe britannique concnetre en 1938 les marques automobiles suivantes :
  • Wolseley fondée en 1889 par Frederick York Wolseley à Birmingham et rachetée en 1938 par Morris
  • Riley fondée en 1903 par Victor, Percy et Alan Riley à Coventry et rachetée en 1930 par Morris.
  • Morris fondée en 1910 par William Morris à Oxford.
  • MG fondée en 1924 par William Morris à Oxford et rachetée en 1935 par Morris.

Cette organisation participe à l’effort de guerre en produisant des moteurs d’avion, des tracteurs d’artillerie et des chars d’assaut. En 1948, la marque anglaise Morris Motor Company (MMC) lance la Mini par Alec Isssigonis. Ce groupe disparaît en 1952, en se fondant dans British Motor Corporation (BMC). Finalement en 1984, la marque anglaise Morris disparaît, mais la marque anglaise Morris Garage (MG) subsiste. Tout d'abord, en 1996, la marque anglaise Morris Garage (MG) est vendue au groupe allemand BMW. Puis quatre ans plus tard, en 2000, la marque anglaise Morris Garage (MG) est intégrée au groupe anglais Phoenix Consortium. Finalement, trois ans après, en 2003, la marque anglaise Morris Garage (MG) est vendue au groupe chinois Nanjing Automobile Group (NAG), puis quatre ans après en 2007, la marque anglaise Morris Garage (MG) est vendue au groupe chinois Shangai Automotive Industry Corporation (SAIC).
  • En 1927, la firme anglaise Morris Motor Company (MMC) rachète Wolseley, fondé en 1905.
  • En 1927, la firme anglaise Wolseley Motors Co (WMC) fondée en 1887, est vendue à William Morris.
  • En 1927, la firme anglaise Wolseley Motors Co. (WMC) est achetée par William Morris et la marque anglaise Wolseley Motors Ltd est fondée par William Morris à partir de la précédente.
  • En 1949, la filiale japonaise Wolseley Motors Ltd (WMC) est à la base de la marque japonaise Isuzu.
  • En 1952, le marque anglaise Morris Motor Company (MMC) fusionne avec le groupe anglais Austin Motor Company (AMC).
  • En 1952, la marque anglaise Morris est intégrée au groupe anglais British Motor Company (BMC).
  • En 1952, la
En 1969, les marques anglaises Morris et Morris Garage (MG) sont intégrées au groupe anglais British Leyland (BL). En 1969, la marque anglaise Wolseley Motors Ltd (WMC) est vendue à British Leyland (BL) et disparaît, bien qu’elle ait été la base de Morris et de Austin. En 1984, la marque anglaise Morris disparaît. En 1996, la marque anglaise Morris Garage (MG) est vendue au groupe allemand BMW. En 2000, la marque anglaise Morris Garage (MG) est intégrée au groupe anglais Phoenix Consortium. En 2003, la marque anglaise Morris Garage (MG) est vendue au groupe chinois Nanjing Automobile Group (NAG). En 2007, la marque anglaise Morris Garage (MG) est vendue au groupe chinois Shangai Automotive Industry Corporation (SAIC). Les prestigieuses marques du puissant groupe Morris Motor Company (MMC) en 2008 sont mises en dormance et seule subsiste MG, aux mains d’un conglomérat chinois. Ce phénomène de concentration débute en 1952 avec l’histoire de Austin Motor Company (MMC) :



En 1966, la marque anglaise Austin est intégrée dans le groupe anglais British Motor Corporation (BMC).

En 1966, la marque anglaise Austin est intégrée dans le groupe anglais British Motor Holdings (BMH).

En 1968, la marque anglaise Austin est intégrée dans la division Rover Group du groupe anglais British Leyland (BL).

En 1982, la marque anglaise Austin est intégrée dans la division Austin Rover Group Ltd (ARGL) du groupe British Aerospace (BAe).

En 1982, la marque anglaise Austin est intégrée dans la division Austin Rover Group Ltd (ARGL) du groupe British Aerospace (BAe).

En 1994, la marque anglaise Austin est achetée par la marque allemande BMW avec le groupe Austin Rover Group.

En 2000, la marque anglaise Austin est intégrée dans groupe MG Rover Group.

En 2005, la marque anglaise Austin disparaît.



La fusion de Nuffield Organisation (NO) et de Austin Motors Company (AMC) en 1952 donne naissance au groupe British Motor Corporation (BMC). Ce groupe disparaît en 1952, en se fondant dans British Leyland Corporation (BLC).




c) le cas de British Motor


La fusion de Nuffield Organisation (NO) et de Austin Motors Company (AMC) en 1952 donne naissance au groupe British Motor Corporation (BMC). Ce groupe détient en 1952 les marques automobiles suivantes :
  •  Austin à Longbridge depuis 1906.
  •  Morris à Oxford depuis 1910.
  •  Riley à Coventry depuis 1930.
  •  MG à Oxford depuis 1935.
  •  Wolseley à Birmingham depuis 1938.
  •  Austin-Healey fondée en 1952 par Herbert Austin et Donald Healey.
  •  Vanden Plas fondée en 1912 et rachetée en 1946 par Austin.
Ce groupe disparaît en 1952, en se fondant dans British Leyland Corporation (BLC).

La fusion de Leyland Motor et de Associated Commercial Vehicles (ACV) en 1962, donne naissance au groupe industriel Leyland Motor Corporation (LMC). Ce groupe britannique détient entre autre les 4 marques automobiles Leyland, Triumph, Standard et Rover.

La fusion de British Motor Corporation (BMC), de Jaguar Cars (JC) et de Pressed Steel en 1966, donne naissance au groupe industriel British Motor Holdings (BMH). Ce groupe britannique détient entre autre les 7 marques automobiles Morris, Riley, MG, Wolseley, Austin, Jaguar et Daimler. La fusion de Leyland Motor Corp. (LMC) et de British Motor Holdings (BMH) en 1968 donne naissance au groupe industriel British Leyland Motor Corp. (BLMC). Ce groupe britannique détient en 1968 les 7 marques automobiles suivantes :
  • Wolseley fondée en 1889 par Herbert Austin,



  • Riley fondée en 1903 par Victor, Percy et Alan Riley,
  • Austin fondée en 1906 par Herbert Austin,




  • Morris fondée en 1910 par William Morris à Oxford.




  • MG fondée en 1924 par William Morris à Oxford,




  • Triumph fondée en ,




  • Rover fondée en 1877 par James Starley et Josiah Turner à Coventry.

    A cette époque, le groupe LMC était une entreprise saine fabriquant des véhicules renommés, alors que le groupe BMH était en faillite endémique. Le comité de réorganisation industrielle du gouvernement Wilson espérait en les associant créer un conglomérat d’une centaine d’entreprises capable de produire non seulement des voitures, des camions et des car, mais aussi de l’équipement de toute sorte. La nationalisation du groupe anglais British Leyland Limited (BL) en 1975, à partir de British Leyland Motor Corporation (BLMC).Ce groupe britanique détient entre autre les 7 marques automobiles Morris, Riley, MG, Wolseley, Austin, Triumph, Jaguar, Rover, Land Rover et Mini. Le rachat de ? par British Aerospace (BAe) en 1982, donne naissance au groupe industriel Austin Rover Group (ARG). Ce groupe britanique détient entre autre les 4 marques automobiles Austin, Morris, Rover et Triumph.

     En 1982, fondation du groupe anglais Austin Rover Group Ltd (ARGL), qui détient les marques survivantes :
    •  Austin,
    •  Morris,
    •  Rover et
    •  Triumph.
     Le rachat de ARGL par British Aerospace (BAe) en 1986, donne naissance au groupe industriel Austin Rover Group (ARG). Ce groupe britanique détient entre autre les 4 marques automobiles :
    •  Austin,
    •  Morris,
    •  Rover et
    •  Triumph.